Chefs d'équipe et bibliothécaires-conseillers de la Section du catalogage

Pv 4e no 138

Chefs d'équipe et bibliothécaires-conseillers Section du catalogage

Compte rendu de la réunion du 17 décembre 2008

MEMBRES

ORDRE DU JOUR, TEL QU'ADOPTÉ

Étaient présents:

Robert Blanchet

Jocelyne Campagna

Marcel Plourde

Sylvie Robichaud

Marielle Roy

Daniel G. Tremblay

Était invitée pour une partie de la réunion :

Louise Pelletier

   

L’ordre du jour est adopté.

Le compte rendu est adopté avec de légères modifications.

Nous avions discuté lors de la dernière réunion de la possibilité de fournir des exemples afin d’appuyer notre décision et de mieux l’expliquer, mais la discussion doit encore se poursuivre avant d’arriver à une position définitive. Quelques considérations doivent être prises en compte. En premier lieu la nécessité de retoucher le moins possible aux gros ensembles de monographies électroniques numérisées que nous avons à traiter et de donner une image exacte des dates de publications dans le cas des thèses et des mémoires de maîtrise. Robert questionne ici la pertinence d’ajouter dans les zones fixes une date de reproduction pour les documents à valeur historique, puisque dans l’affichage des résultats Web, c’est la date de reproduction qui prime et la notice de la version électronique risque, dans certains cas, d’être très éloignée de la notice de la version papier originale. On convient donc de ne pas utiliser cette possibilité.

Nous nous orientons donc vers une position qui pourrait ressembler à celle-ci :

  • les gros ensembles de monographies électroniques seront traités tels qu’ils nous sont fournis, en laissant en 260 la date originale de la version papier, et en conservant la note de reproduction inscrite en 533. Dans le cas de certains ensembles, c’est la date de la reproduction qui est inscrite en 260. Une zone 534 serait donc créée pour indiquer la date de la version originale;

  • les thèses sous forme de microformes ou de reproductions électroniques seraient traitées de la même façon, en laissant la date de soutenance en 260, et en inscrivant note de reproduction en 533. Dans le cas des dossiers dérivés importés dont le catalogage est différent, on suggère de les aligner sur cette façon de faire.

Les chefs d’équipes se réuniront donc d’ici la prochaine réunion et identifieront des exemples afin de mieux illustrer des orientations.

Nous nous sommes questionnés sur la nécessité de traduire les mentions relatives aux reliures spécifiques inscrites en anglais à la suite des numéros ISBN dans les zones 020. Après réflexions, nous considérons qu’il n’est pas nécessaire d’en effectuer la traduction.

Louise Pelletier nous présente un tableau dressant la liste des types de matériel en relation avec les politiques de prêt. Ces politiques définissent l’autorisation ainsi que la durée des prêts. L’absence de certains types de documents (les dvd-roms par exemple) dans cette liste n’empêche pas de gérer convenablement les prêts. Louise constate cependant que certaines statistiques peuvent être faussées si le vrai type de matériel n’est pas indiqué. Plusieurs cas sont touchés par cette situation qui perdure depuis la migration à Unicorn en 2003 et nous n’avons jamais été informés de problèmes causés par cette procédure que nous avions adoptée afin d’harmoniser la durée de prêt du matériel d’accompagnement avec le document principal. Marcel tentera de déterminer s’il est possible d’obtenir des rapports de statistiques plus précises à partir d’informations trouvées ailleurs.

En ce qui concerne le prêt des cédéroms d’accompagnement, les chefs d’équipe se réuniront pour réviser la procédure de traitement de ces cédéroms selon les localisations. On y indiquera aussi que le type de document à utiliser sera Cédérom et non pas Monographie. La liste des localisations d’appartenance et types de documents pourra être modifiée dans l’Intranet, pour refléter les divers choix. Marcel communiquera avec Alain Gendron pour vérifier s’il est nécessaire de traiter de façon rétrospective les cédéroms d’accompagnement qui n’ont pas de codes à barres et qui par conséquent ne peuvent faire l’objet d’un prêt séparé.

La case Prêt autorisé qui apparaît dans l’exemplaire d’un document permet d’outrepasser les interdictions de prêt et doit être cochée systématiquement. Normalement cette case devrait être cochée automatiquement lors de la création des notices, mais il peut arriver à l’occasion que ce ne soit pas le cas. On demande donc aux catalogueurs d’être vigilants et de cocher de façon systématique cette case si elle ne l’est pas déjà. La seule exception touche les documents électroniques pour lesquels la situation ne se pose pas.

Daniel Tremblay a constaté que des cotes à 41 caractères apparaissent dans certains dossiers alors que le nombre de ce champ de saisi est limité à 40 caractères. Daniel Tremblay croit que ces cotes ont été générées lors de l’ajout des |z par Sébastien Nadeau. Y a-t-il une faille d’Unicorn qui nous permettrait d’inscrire au complet nos cotes actuellement trop longues. Marcel verra avec Sébastien Nadeau s’il est possible de corriger la situation, mais nous pensons qu’elle relève plus de la configuration de base d’Unicorn que d’éléments paramétrables localement.

Daniel Tremblay souligne qu’un ensemble de notices de périodiques électroniques versé dans Unicorn contient des zones 300 indiquant le nombre de volumes ou de numéros disponibles ainsi que le type de fichiers de la ressource électronique. Il rappelle que la politique commune de la Crepuq proscrit l’utilisation de la zone 300 pour indiquer le nombre de volumes d’un périodique électronique, mais Marcel précise que la dernière révision des RCAA2 le permet, du moins pour les monographies électroniques. Marcel souligne que cette information peut être utile aux usagers et il ne voit pas la nécessité d’appauvrir une notice de bonne qualité afin de supprimer une information bien rédigée et présentée de façon normalisée et structurée. Marcel mentionne également que le Groupe de travail sur le traitement de la documentation révisera au cours de la prochaine année la Politique commune de la CREPUQ sur le traitement des périodiques électroniques afin de la faire correspondre un peu plus aux besoins des utilisateurs et de faire en sorte qu’elle soit moins calquée sur le traitement des périodiques papier.

Rédaction du compte rendu:

Marcel Plourde

Janvier 2009